SECONDE - HISTOIRE - CHAPITRE 2 - ROME : VERS UNE CITOYENNETÉ UNIVERSELLE

SECONDE - HISTOIRE - CHAPITRE 2 - ROME : 
VERS UNE CITOYENNETÉ UNIVERSELLE

 

Le Colisée (du latin Colosseo) ou amphithéâtre Flavien 
est un amphithéâtre ovoïde construit à Rome entre 70 et 80 après J.-C. 
sous les règnes des empereurs flaviens (famille patriciennes des Flavii) 
Vespasien et Titus. Le Colisée incarne toute la puissance du génie civil 
de la Rome antique, mais aussi l'apathie politique des romains de la fin 
du premier siècle de notre ère.

I - CRÉATION DE LA VILLE ET INSTAURATION DE LA RÉPUBLIQUE

A. Des débuts monarchiques nappés de légende. 

(à lire pour comprendre mais non central dans l'apprentissage du chapitre)


L’histoire ancienne de Rome est largement tissée de légendes.  

Et elle démarre pour les anciens Romains en 753 avant J.-C. avec 

la fondation de Rome au bord du Tibre dans le Latium par le roi légendaire

 Romulus. La monarchie romaine se poursuit jusqu’en 509 avant J.-C. 

quand le dernier roi romain, Tarquin le Suprême, est chassé du pouvoir

 par le peuple de Rome. 


Devoir : En vous appuyant sur une recherche documentaire personnelle

(internet, bibliothèque ou autre) répondez aux deux questions suivantes : 

“Dans quelle mesure les récits de la fondation de Rome laissent-ils une 

large part aux récits légendaires, mobilisant les dieux, lors de quels 

épisodes?” et “En quoi ces récits servaient-ils la gloire et l’expansion 

romaine?”


Trois rois sabins et romains légendaires se succèdent après Romulus, 

des rois légendaires qui rejouent la “triade indo-européenne” : Numa Pompilius 

"le premier pontife" gendre de Romulus (un roi sabin, roi très religieux et 

organisateur du calendrier, qui place en premier mois le mois de Janvier, 

mois dédié à Janus Bifrons, Janus à "deux visages", Dieu des bons jours 

et des mauvais jours, dont les volets du temple sont ouverts en temps de 

paix et fermés en temps de guerre) Numa Pompilius aurait également 

instauré le collège des frères flamines et celui des vestales, Tullus Hostilius 

"l'hostile" (roi romain) roi guerrier qui agrandit la ville de Rome, conquiert Albe 

(c’est la période de l’épisode des Horaces et des Curiaces rapporté par Tite-Live 

dont le récit s’achève par les mots du dernier Horace vainqueur et assassin 

de sa soeur « qu'ainsi périsse toute Romaine pleurant un ennemi »). 

Rome envahit des colonies étrusques, étend son territoire. 

Peu religieux, Tullus Hostilius serait mort foudroyé par Jupiter) et  

Ancus Marcius (roi sabin). Roi bâtisseur, il aurait fait construire 

le pont Sublicius sur le Tibre et la première prison de Rome (le Tullianum) 

intégré le Janicule (la colline opposé au Capitole) et créé le port d'Ostie. 


Après le règne d'Ancus Marcius, la royauté passe aux mains d'une famille 

étrusque. Trois rois étrusques se succèdent: Tarquin l'Ancien (roi bâtisseur 

et guerrier il crée la Cloaca Maxime et le Circus Maximus), 

Servius Tullius (créateur du mur servien, une muraille en pierre protégeant Rome)

et Tarquin le Superbe (tyran, roi guerrier, il soumet de nouveaux peuples

voisins de Rome comme les Volques, selon la légende,

il est chassé de son trône pour ses nombreux excès de pouvoir 

et ceux de son fils, accusé du viol d'une patricienne, Lucrèce).

 

B. La fin de la monarchie à Rome.


En 509 avant J.-C., après la fuite de ce dernier roi les grandes 

familles de Rome proclament la République. (DATE TRÈS IMPORTANTE)

 

La République s'appuie sur un nombre réduit d'institutions. 

Deux consuls sont élus par le peuple des citoyens réuni en 

comices centuriates (des groupes de citoyens appelés "tribus"

inspirés des circonscriptions d'Athènes, les "dèmes") : Lucius Junius Brutus,

et Lucius Tarquinius Collatinus, seront les deux premiers consuls élus.

Les citoyens élisent toute une série de magistrats chargés de la justice, 

du ravitaillement, des impôts, etc. 

"Avec l'élection des consuls et l'établissement du Sénat, 

Rome est maintenant libre" écrira l'historien Tite-Live.

 

(Connaissez les grandes institutions suivantes ci-dessous! 

Le rôle des magistrats, du peuple et du Sénat, 

dans les grandes lignes est importants

Sachez dire qui en est exclus également)

 

http://segpafacile.weebly.com/uploads/1/3/7/1/13713205/4234421_orig.jpg 

Le fonctionnement de la République au 

premier siècle avant J.-C.


Jacques-Louis David (peintre français), huile sur toile, Les licteurs 

rapportent à Brutus les corps de ses fils, 1789. 

Brutus, l’un des premiers consuls du Sénat romain 

(l’assemblée romaine élisant les consuls) est célébré à Rome pour son intégrité. 

En effet, on raconte qu’il n’hésita pas à faire exécuter ses propres fils qui 

complotèrent contre la République. 

L'antiquité romaine, et particulièrement la République romaine, 

constitue une source d'inspiration majeure du courant pictural appelé 

néoclassicisme qui s'épanouit en France à la fin du XVIIIe siècle 

(à partir de 1785). 
 
C. Une République conquérante et oligarchique.

(à connaître) Rome a déjà largement étendue son territoire dans le Latium quand 
la république est proclamée en 509 avant J.-C.. 
Mais c’est toujours le nom de la ville qui désigne l’état romain. 
L’empire que crée Rome sera toujours vu par les Romains 
comme une extension de leur cité antique nominale qu’ils 
désignent par le titre d’”Urbs” (autrement dit “la Ville” 
avec une majuscule). (à connaître)
 

Ce sont les habitants du “pomerium” (l’enceinte sacrée de la ville) 
qui peuvent seuls, aux premiers temps de la République revendiquer 
la citoyenneté romaine. 

(à connaître : les spécificités de la citoyenneté romaine, 
les droits et devoirs du citoyen)
 
(à connaître) La citoyenneté romaine seule donne la pleine capacité d’exercer 
les droits politiques et militaires suivants:(à connaître)

(à connaître) Jus suffragii : le droit de vote.

Jus militiae : d’être incorporer dans la légion romaine, 

et d'y recevoir une solde et une part de butin.

Jus Honorum : le droit d'être élu magistrat.

Jus census : le droit de propriété.

Jus sacrorum : le droit de participer aux sacerdoces 

(sacrifier publiquement aux dieux).

Jus connubii : le droit de mariage.

Jus hæreditatem : droit de léguer ses biens à ses héritiers et de rédiger 

un testament.

Jus commercii : droit de faire commerce sur le territoire romain.

Jus legis actionis : droit d’ester en justice devant un tribunal romain, 

mais aussi de faire appel et d’échapper aux peines infamantes comme 

la crucifixion. 

Droit de porter la toge et un nom romain caractérisé par la tria nomina 

(prénom, nom de famille et surnom), signes distinctifs du citoyen romain.

Jus commercium : capacité de conclure des actes commerciaux. (à connaître)

Mais les citoyens romains doivent donc, en échange de leurs droits,  
respecter certains devoirs :

(à connaître) Offrir d'importantes offrandes aux cultes publics. 

Défendre la cité et son territoire par les armes.

Payer l’impôt (tributum).  Les plus riches participent 

également à embellir la cité en finançant fontaines et 

monuments, c’est “l’évergétisme”. (à connaître)

 
(à connaître) L’exercice du vote se réalise selon le découpage électoral 
des comices tributes, tout citoyen est donc rattaché à une tribu.
L'élection à la questure, qui constitue la première 
magistrature du cursus honorum, exige cependant de s'acquitter 
d’un cens minimum de 400 000 sesterces (à connaître)
(soit une fortune de plus de 300 000 euros en 2020 correspondant 
à l’inscription comme “chevalier des milices équestres” 
qui donne droit au port de la tunique et de l’anneau équestre, 
et à la participation à la cavalerie romaine, en milice ou en légion)
Le cursus honorum était donc restreint aux jeunes citoyens 
des familles les plus riches et imposait un passage par l'armée 
pour exercer les droits politiques les plus complets.  
De même, seuls les citoyens des classes les plus riches pouvaient 
être incorporés dans la légion, jusqu'à la réforme de Marius qui leva 
cette restriction en -105. Tout citoyen peut alors s’engager dans la légion, 
à partir de 16 ou 17 ans. Pour les autres, seules les troupes 
auxiliaires pouvaient les accueillir. Ils ne prenaient donc pas part 
au partage des butins sauf exception. 
Questions : En quoi l’accès censitaire (sur justification de fortune) 
au “cursus honorum” fait-il de la République romaine une démocratie 
partielle, assez injuste? Dans quelle mesure également, à Rome, 
l'exercice des droits se méritaient-ils? 

 

B - PREMIÈRES EXTENSIONS DE LA CITOYENNETÉ ROMAINE

(Si la partie précédente est extrêmement importante, la connaissance 

des quelques dates de l'élargissement de la citoyenneté importent ici : 

le premier siècle avant J.-C., le principat,

l'édit de Claude et l'édit de Caracalla)

A. Première élargissement de la citoyenneté : 

 

les guerres latines du Quatrième siècle avant J.-C..

 

La première grande extension de la citoyenneté 

romaine avait eu lieu après les guerres latines qui embrasèrent l’Italie 

de -340 à -337 avant J.-C.. Les peuples latins y avaient perdu la guerre, 

par une manœuvre du Sénat de Rome, en effet celui-ci leur avaient 

finalement octroyés la citoyenneté au cours de la guerre, une citoyenneté 

“sans suffrage” qui avait permis de divisé le camp des tribus adverses et 

rallié une bonne partie d'entre-elles. Mais seuls sont admis au vote les 

citoyens de droit latin présents physiquement à Rome lors des votes, 

donc les plus riches 

et les plus fidèles à Rome.

 

C’est au cours de ces guerres dites "sociales" 

que le consul Manlius tue son propre fils pour être sorti du rang 

et avoir (contre les ordres donnés) combattu en duel. 


B. Les guerres civiles


Après l'assassinat du consul Livius Drusus en 91 avant J.-C. 88 avant J.-C. 

une nouvelle guerre entre Rome et ses alliés italiens éclatent, 

les Romains nommeront ces affrontements: les "guerres sociales". 

Ces affrontements débouchent sur une première guerre civile 

(entre les partisans de Marius et ceux de Sylla), puis une deuxième 

entre ceux de César et ceux de Pompée, des affrontements qui 

ne s'achèvent vraiment qu'en 30 avant J.-C. à la bataille d’Actium, 

bataille qui marque la fin de la guerre civile entre Octave (futur Auguste) 

et Marc-Antoine, allié à Cléopâtre.  

Ces guerres furent marquées par des massacres et des assassinats 

(celui de César en mars 44 avant J.-C., ou celui de l’ancien consul 

Cicéron dont on tranche la tête et les mains en 43 avant J.-C.). 

 

Cette série d'affrontement très violent s’achèvent par la 

victoire d'Auguste et l’avènement du principat, la première 

forme de l’Empire romain, mise en place à partir de -27.


À savoir, au cours de la guerre sociale (de 91 à 88 avant J.-C.) 

le père de Pompée, futur ennemi de Jules César, avait octroyé 

la citoyenneté romaine à ses alliés ibères (espagnols) et lors 

de la conquête de la Gaule qui s’achève lors du siège d’Alésia 

en 52 avant J.-C., Jules-César offre aux chefs gaulois qui 

s'étaient alliés à lui la citoyenneté romaine. De nombreux 

peuples de Gaule passent alors sous droit latin (le droit 

romain "sans suffrage") et droit pérégrin ("droit local" 

où les droits pénaux, civils et politiques locaux sont 

conservés, pas de participation aux institutions romaines 

mais reconnaissance des propriétés personnelles, du mariage 

et des héritages). 

 

C. Le principat d'Auguste : -27 à 14 après J.-C.. (à connaître vraiment)

 

(à connaître) L’agrandissement progressif de la domination de la république 

puis de l’empire romain (le Principat, première forme de l’empire 

Romain est créé par Auguste en -27) en Italie puis autour du 

bassin méditerranéen s'est accompagné de l’élargissement 

progressif de la citoyenneté. Mais sous les empereurs, 

l'expression des droits politiques est très contrôlée et encadrée. (à connaître)

 

(à connaître) Après avoir remporté la dernière guerre civile 

(-44 à -30) à Actium, Octave, fils le adoptif de César, épure le 

Sénat et en choisit les nouveaux membres. 

L'assemblée romaine devient une simple 

chambre d'enregistrement et un lieu mondain. Il perd sa centralité 

politique. Le chef de la république est désormais le "Princeps" 

Octave, qui prend en -27 le titre d'Auguste (le très "honorable"). (à connaître)


Auguste représenté en général maître des terres 

(symbolisé par la cuirasse de cavalier lourd) et 

des mers (le petit génie est assis sur un dauphin, 

symbole de la mer maîtrisée - fin de la piraterie).


Devoir : lire les fiches wikipedia de César et d’Auguste. 


C - L'EMPIRE : VERS LA CITOYENNETÉ ROMAINE POUR TOUS 

LES HOMMES LIBRES


(à connaître) En 48 de notre ère, l’Empereur Claude, né en Gaule 

(fils de Drusus, fils adoptif d'Auguste), d’origine gauloise, 

accorde quand à lui l'accès aux magistratures et au sénat 

aux notables de toute la Gaule Chevelue (les territoires de la 

France et de la Belgique actuelle, moins la Narbonnaise déjà romaine). 

Claude s’est donc fait le premier empereur partisan d'une 

ouverture large de la citoyenneté, une politique jugée trop 

généreuse par certains de ses contemporains comme le 

philosophe Sénèque qui moque cet empereur fou qui voudrait 

“voir tous ces gaulois hirsutes en toge”. (à connaître)


La décision de Claude nous est connue, entre autres, par les 

“tables claudiennes”, de sublimes plaques de bronze gravées 

retrouvées en 1528 à Lyon (dans le quartier de la Croix-Rousse) 

et par les écrits de Tacite (historien romain du 1er siècle avant J.-C.).


Question : Après avoir cherché sur Internet le texte du décret de 

Claude sur la citoyenneté romaine et les critiques de Sénèque 

apportées à ce décret, exposez leurs arguments. 

Que pensez-vous des critiques de Sénèque? Que défend-t-il? 

Qu’en pensez-vous?


(à connaître) De nombreux peuples de gaulois comme les Leuques 

(haute vallée de la Seine) prennent partie pour Rome 

dès la conquête de César (qui a lieu de 58 à 51 avant J.-C.).


Une monnaie Leuques 

datant des années 50 avant J.-C., contemporaine de César. 


De fait, avec l’instauration du premier empire, ou “Principat” 

par Octave (le fils adoptif de César qui prend alors pour régner 

le nom d’Auguste en 27 av. J.-C.) les citoyens participent de 

moins en moins au pouvoir politique. L’exercice du pouvoir 

est de plus en plus monarchique et devient d’ailleurs héréditaire, 

avec une simple validation du Sénat du candidat impérial. 

 Seules les élections locales demeurent importantes pour les 

citoyens romains, comme en témoignent les nombreux graffitis 

politiques retrouvés à Pompéi et ailleurs, qui citent pour la plus 

grande part des figures politiques très locales et inconnues pour 

nous aujourd’hui. (à connaître)


D - UNE CITOYENNETÉ ROMAINE UNIVERSELLE?


(à connaître) Au cours des cinq premières dynasties impériales le droit 

à la citoyenneté romaine évolue peu. Elle est octroyée par hérédité 

ou après un très long service militaire (jusqu’à 20 ans!). 

Le grand changement intervient en 212 après Jésus-Christ, 

lorsque l’empereur Caracalla accorde, à la date de promulgation 

de l'édit, la citoyenneté romaine à tout homme libre  de l'Empire 

résidant dans l’Empire et qui ne l'avait pas encore acquise. (à connaître)


Par sa décision généreuse, Caracalla souhaitait sans doute simplifier 

l’administration de l’Empire (en supprimant la foule de statuts divers 

des citoyens de l’empire “fédérés” “déditices” “pérégrins” 

“citoyens de droit latin”) et augmenter la perception des impôts 

(en généralisant l’impôt sur les successions payé uniquement 

par les citoyens romains et devenu au 3ème siècle après J.-C. 

la base de la fiscalité impériale). 


(à connaître) De fait, l’édit de Caracalla en ne supprimant pas le cens, 

remplace donc les anciennes hiérarchies sociales fondées 

sur la fortune mais aussi l’hérédité par une nouvelle hiérarchie séparant

les hommes par leurs richesses. Le droit oppose à partir de Caracalla 

les “citoyens riches” (les “honestiores”, les “honnêtes” pouvant seuls 

accéder aux législatures, être élus au Sénat, accéder aux postes 

importants de l’administration) et les “citoyens pauvres”  (les “humiliores”, 

les “humiliés”, exclus des institutions). L’édit n'instaure pas non plus 

de “droit du sol”, ainsi les immigrés de l’Empire arrivés après 212

n’en profiteront pas. Autre conséquence négative, du fait du décret, 

le recrutement militaire, initialement conçu comme la “grande voie 

d’entrée à la citoyenneté” perd toute intérêt. L’armée romaine entre 

alors dans une longue période de crise. (à connaître)


(à connaître) Par ailleurs les femmes, les esclaves et les étrangers demeurent 

toujours exclus de la citoyenneté. Or ils représentent la majorité 

des habitants et habitantes de l’Empire. (à connaître)


Question : Exposez pourquoi, malgré l’édit de Caracalla, la citoyenneté 

romaine demeure excluante des nombreuses catégories de la population 

après 212?


E - LA FIN DE L’EMPIRE


(à connaître) À la mort de Théodose Ier en 395 après J.-C., l'Empire romain est 

divisé en deux entre Empire romain d'Occident et Empire romain d'Orient.

(à connaître)


Les habitants de l’Empire sont religieusement et culturellement de plus en 

plus divisés. À l’Est de l’Empire la langue grecque et les pratiques culturelles 

chrétiennes orientales dominent. À l’Ouest, les grandes invasions ont 

amené l’installation de nouveaux peuples comme les Francs, qui, 

profitant de l’affaiblissement du pouvoir romain constituent de nouveaux 

états dans les provinces, bientôt indépendant. Ainsi en Gaule, 

en 486 après J.-C., lors de la bataille de Soissons 

(célèbre pour l’épisode du “vase”) le roi franc Clovis, 

petit-fils de Mérovée, chasse le dernier représentant du pouvoir de Rome 

en Gaule Belgique, Syagrius. L’Empire ne fera que décroître. 

(à connaître) En 476 après J.-C. le dernier empereur romain d'Occident (Romulus Rémule) 

est déposé par le roi barbare Odoacre, 

c'est fin de l'empire romain d'Occident. (à connaître)


L'Empire romain d'Orient perdurera lui jusqu'en 1453 après J.-C., 

date à laquelle Mehmet II le sultan ottoman prend la capitale de l'empire, 

Constantinople. Constantin XI Paléologue (surnommé Dragagès) 

meurt sur les remparts de sa capitale les armes à la main 

(écrasé par une troupe de cavaliers ou égorgé par un guerrier 

musulman selon les différentes versions). 

C'est la fin de l'Empire romain d'Orient ou Empire byzantin.




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